mercredi 28 septembre 2016

KINSHASA : UNE RENTREE SCOLAIRE TIMIDE


L’engouement des élèves pour l’école n’a pas été au rendez-vous le lundi 5 septembre 2016 date prévue par le gouvernement congolais pour la rentrée scolaire 2016-2017. Quelques établissements de Kinshasa avaient ouvert leurs portes pour la nouvelle année scolaire mais n’ont pas reçu le nombre d’élèves attendus.
Le premier jour de la rentrée scolaire dans la capitale congolaise à toujours été timide, mais la particularité de cette année est que les parents parlent surtout de l’appel à la journée « école morte » lancé à leur endroit par le rassemblement de forces politiques et sociales acquises au changement. Parmi les motifs avancés par ce dernier il y a deux qui constitue les désidératas des parents durant plusieurs années à savoir l’amélioration des conditions d’études en RDC et l’amélioration des conditions socio-économiques des parents. Les difficultés financières qu’éprouvent les parents pour être en règle avec les frais exigés par les établissements scolaires pour le début des cours expliquent aussi le peu d’engouement constaté la 1ère semaine de la rentrée et d’année en année les conditions socio-économiques des parents ne permettent pas à ces derniers de s’acquitter de tous ces exigences. Ainsi il y a certains enfants qui débutent les cours après deux semaines voir même 1 mois et d’autres peuvent écouler tout un trimestre. Conséquence très peu d’élèves passent de classe avec la matière en tête et le niveau intellectuel de nos enfants va de mal en pis.
Cependant j’estime que la lutte politique doit être un domaine exclusif de grandes personnes et non des enfants pour plusieurs raisons mais les maux qui rongent le système éducationnel congolais doit être traités dans un cadre plus global pour trouver des solutions durables en vue d’améliorer la qualité de l’enseignement dans son ensemble dans notre pays.
Qu’à cela ne tienne la rentrée scolaire a été timide et les institutions établies doivent tenir compte de cela, tirer les conséquences pour éviter d’hypothéquer l’avenir de nos enfants.

KINSHASA : UNE RENTREE SCOLAIRE TIMIDE


L’engouement des élèves pour l’école n’a pas été au rendez-vous le lundi 5 septembre 2016 date prévue par le gouvernement congolais pour la rentrée scolaire 2016-2017. Quelques établissements de Kinshasa avaient ouvert leurs portes pour la nouvelle année scolaire mais n’ont pas reçu le nombre d’élèves attendus.
Le premier jour de la rentrée scolaire dans la capitale congolaise à toujours été timide, mais la particularité de cette année est que les parents parlent surtout de l’appel à la journée « école morte » lancé à leur endroit par le rassemblement de forces politiques et sociales acquises au changement. Parmi les motifs avancés par ce dernier il y a deux qui constitue les désidératas des parents durant plusieurs années à savoir l’amélioration des conditions d’études en RDC et l’amélioration des conditions socio-économiques des parents. Les difficultés financières qu’éprouvent les parents pour être en règle avec les frais exigés par les établissements scolaires pour le début des cours expliquent aussi le peu d’engouement constaté la 1ère semaine de la rentrée et d’année en année les conditions socio-économiques des parents ne permettent pas à ces derniers de s’acquitter de tous ces exigences. Ainsi il y a certains enfants qui débutent les cours après deux semaines voir même 1 mois et d’autres peuvent écouler tout un trimestre. Conséquence très peu d’élèves passent de classe avec la matière en tête et le niveau intellectuel de nos enfants va de mal en pis.
Cependant j’estime que la lutte politique doit être un domaine exclusif de grandes personnes et non des enfants pour plusieurs raisons mais les maux qui rongent le système éducationnel congolais doit être traités dans un cadre plus global pour trouver des solutions durables en vue d’améliorer la qualité de l’enseignement dans son ensemble dans notre pays.
Qu’à cela ne tienne la rentrée scolaire a été timide et les institutions établies doivent tenir compte de cela, tirer les conséquences pour éviter d’hypothéquer l’avenir de nos enfants.

vendredi 29 juillet 2016

LES RESOLUTIONS 2277 ET 2293:POUR LA PAIX ET LA STABILITE



Adoptées par le conseil de sécurité des nations unis à l’unanimité en mars et juin dernier, de la résolution 2277 à la résolution 2293 il  faut juste un pas, une manière pour l’ONU de jouer sa partition dans la pression  à exercer sur les autorités congolaises afin de tenir le délai constitutionnel dans l’organisation de la présidentielle et la législative prévues d’ici novembre 2016

Son de cloche du représentant national

Se rappelant de ce qu’à déclaré le représentant de la république démocratique du Congo, l’ambassadeur IGNACE GATA MAVITA dans un journal de la place, critiquant le texte de la résolution 2293 en disant que ce dernier n’a rien à avoir avec les élections et il ne partage pas le point de vue du conseil de sécurité qui a jugé bon de calquer la présente résolution sur les dispositions de la résolution 2277, risque a-t-il prévenu de raviver les tensions qui sont déjà latentes dans notre pays.
Je pense que le conseil de sécurité de l’ONU à décidément, pris la mesure  de ses responsabilités, il a en effet  levé l’ option de bousculer la donne, en vue d’accélerer les choses , afin que les élections puissent se tenir dans le temps comme le souhaite le peuple congolais .Aussi le droit international lui reconnait la possibilité de mettre en œuvre toute une gamme de sanctions afin d’assurer  son objectif du maintien de la paix et c’est justement au nom de la paix et de la stabilité en RDC et en Afrique central que la communauté internationale appelle Kinshasa à s’investir dans la tenue des élections conformément à la constitution .

Pour une alternance pacifique


L’étau se resserre autour du processus électoral en république démocratique du Congo ,je salue la partition jouée par les partenaires et amis de notre cher pays dans l’aide apportée à notre classe politique en vue de créer des conditions propices à  la tenue des prochains scrutins pour que le processus électoral soit libre , juste ,crédible , ouvert ,transparent, pacifique qu’il soit accompagné des débats politiques de qualités et constructifs à cela doit s’ajouter l’implication et l’engagement de toutes les parties prenantes à ce processus en vue de la réalisations de l’objectif majeur à savoir les élections dans le délai pour une alternance pacifique et démocratique.   

vendredi 8 juillet 2016

RDC : Inflation du taux de change, jusqu’où allons-nous ?

photo prise sur googel

Ces derniers temps, nous connaissons une flambée du taux de change de devises sans proche précédent. La dépréciation de la monnaie nationale, le Francs Congolais, se fait sentir dans tous les paniers. La panique gagne de plus en plus la population et l’on se demande jusqu’où va cette inflation….
Un divorce non préparé
Novembre 2012, nous apprenons un arrêt brutal  du second programme économique du gouvernement (PEG2) conclu avec le Fond Monétaire International (FMI) en décembre 2009. Quelques années plus tard, nous subissons la chute brutale des matières premières, le contexte économique change complètement, allant de mal en pie. Les difficultés pour maintenir la stabilité du fameux cadre macro économique qui a toujours fait la « fierté du premier ministre » se signalent.
Et les conséquences s’en suivent
1 dollar américain quitte de 910FC pour 1200FC, les denrées alimentaires locales passent à la vitesse de croisière, une hausse sur sensible. Un carton de sucre poisson passe de 50000 FC à 60 000 FC, le sachet de sucre quant à lui passe de 4500 FC à 5300 FC… d’une hausse à une autre , les premiers à manifester la fièvre sont les entreprises de télécommunication qui ont haussé les prix crédits mobiles de 20% et le tarif de la connexion internet de 500% et-ce, malgré les appels à l’ordre du ministre des PTNTIC.
Si Gouvernement savait…
Vaut mieux prévenir que guérir, dit un vieil adage. En se mettant à l’écart du FMI, notre gouvernement est sensé ne pas ignorer qu’il plonge le pays dans une difficulté financière.
Sur ce, je recommande une question particulièrement économique soit abordée sans passion aucune par le parlement de la république en vue de préserver quelques résultats économiques de ces cinq dernières
années du gouvernement central de notre pays ainsi permettre aux investisseurs de bien faire leurs affaires pour enfin finir avec cette inflation.

lundi 13 juin 2016

ISTA : LA MANIFESTATION DES ÉTUDIANTS, TÉMOIGNAGE


Les étudiants de l’institut supérieure des techniques appliques (ISTA) ont manifestés contre la détention d’un de leur, arrêté depuis mercredi 25 mai 2016 au commissariat de la maison communal de Barumbu.

J’ai abordé une Damme travaillant dans le service de budget contrôle qui a acceptée de témoigner sous anonymat « l’étudiant était arrêté dans l’enceinte même de l’ISTA avec des tracts faisant appel aux étudiants à participer à la marche de l’opposition du vendredi 27 mai 2016 passé. Saisis de la situation le DG (Directeur général de l’ISTA) a commis l’imprudence de le déférer à la maison communal de Barumbu. Ayant appris la nouvelle, les étudiants ont arrêté les cours et se sont rassemblées devant l’ISTA brulant des pneus et des voitures en signe de protestation.
Cherchant à les disperser, la police à tire en l’air et a utilisé des gaz lacrymogènes c’est alors qu’il eu affrontement entre policiers et étudiants, le boulevard aérodrome se transforma en véritable champ de bataille, un immeuble saccagé parce qu’il logeait un étranger (d’origine indienne) qui filmai le déroulement des événements d’après quelques étudiants. L’étudiant arrêté a été libéré et présenté devant ses camarades mais cela n’a pas mis fin aux désordres jusqu’a l’intervention des éléments de la police chapotés par le Général KANYAMA qui a essayé de calmer la situation  mais la tension a persistée jusqu’après deux jours ».

A cet effet j’appelle au sens élevé de responsabilités de la part de nous, étudiants premièrement, appelés à diriger demain ce pays, faisons preuve de beaucoup de retenu et cherchons à résoudre nos problèmes avant tout par le dialogue sinon nous perpétuons les antivaleurs et  l’avenir sera toujours sombres pour notre pays. Ensuite, la police de notre pays a tout intérêt à revoir ses manières dans la répression des manifestations qui très souvent génèrent des affrontements, des dévastations même de l’extorsion et je penses que la réforme est indispensable pour construire une police digne de ce nom.
Je dirai qu’il est temps que les dirigeants des institutions académiques mettent en exergue les compétences et les qualités sur base desquelles ils ont été choisis par la hiérarchie et non user des méthodes pour toujours plaire au chef.

mercredi 30 mars 2016

le mois de la femme: il faut se faire entendre

 Le 8 Mars, Journée internationale des femmes continu d’être un des temps fort dans notre pays la République Démocratique du Congo, C’est un moment privilégie pour faire le bilan de toute une année, réfléchir ensemble, échanger, s’encourager, se mobiliser pour inspirer les actions contre des mesures d’austérité qui maintiennent et renforcent les inégalités vécues par les femmes.
les femmes en conférence 
Appliquons la parité homme et femme pour un développement durable d’ici 2030, tel est le thème retenu par notre pays pour ce mois de mars 2016. Le constat que l’on fait c’est que ; notre gouvernement a du mal à mettre en application la loi portant modalité d’application des droits de femmes, jusque là toutes ces lois souffrent d’application et la parité demeure une mythe dans notre pays, la discrimination et la violence à l’endroit des femmes perdurent comme nous l’indique des nombreux rapports venant des politiques, de la société civile et des mouvements qui militent pour les droit des femmes, les inégalités subsistent plus encore sur le plan politique et économique, le chômage touche plus les femmes, la précarité et le travail non qualifié sont le fait des femmes, le nombres de femmes ayant à leur charge de postes des responsabilités importantes demeure insignifiant.
Sur ce je rends hommage aux différents mouvements menés pour les droit des femmes et qui ne cesse leur lutte et aussi aux actes de courage et de détermination accomplis comme politiques, comme société civile et comme femmes, je pense aux actes tels que : l’initiation aux blogs, la formation des bloggeuses, les manifestations populaires pour défendre et revendiquer l’égalité et la justice pour toutes, création de lobbying pour se faire entendre et être prises au sérieux partout, y compris le gouvernement.

Ainsi il est important que nous, les femmes soient unies plus que jamais afin de continuer à faire entendre nos désidératas auprès de nos autorités politiques, c’est donc plus qu’un symbole.



        

vendredi 12 février 2016

La grippe fait rage à Kinshasa


                                                                            
Une malade dans un hôpital de Kinshasa
De plus en plus de personnes souffrent de la grippe à Kinshasa ces derniers temps. Cette maladie se caractérise  chez beaucoup de malades par la fièvre, la toux sèche et grasse, le rhume, les courbatures et des troubles digestifs. En plus de ces symptômes, des enfants font la diarrhée et le vomissement. Les médecins affirment que cette grippe est causée par le virus qui se répand rapidement en cette période où Kinshasa connait de fortes hausses de températures.

C’est une maladie virale

 Dans mes recherches, pour avoir plus de précisions sur ce fléau, un spécialiste docteur Munzengi du centre de santé Setas dans la commune de Makala, située dans la ville de Kinshasa, s’est confié à  nous, en nous révélant ceci : la grippe est une maladie causée   par le virus hémophilies influenza, il faut la différenciée d’avec les grippes aviaire et
Un bébé malade, heureusement hors danger
porcine qui  sévissent généralement en occident. C’est une maladie virale qui attaque les voies respiratoires supérieures. Le traitement est généralement symptomatique et au bout de cinq à sept jours le malade se sent guérit .Pour de mesures hygiéno-diététiques, il est recommandé aux malades de prendre de l’eau tiède au lieu de l’eau froide, de se laver les mains avec du savon après s’être mouchés et de réduire le contact avec l’environnement pour ne pas propager la maladie.

Aussi, je pense qu’il est plus que nécessaire que notre gouvernement fasse la jonction entre la population et les institutions hospitalières ,par des sensibilisations à ce sujet pour que notre population soit suffisamment informée pour se prendre en charge. Je constate aussi avec regret que nos dirigeant ne mettent pas à  la disposition de la population des statistiques concernant ce genre de situation.